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En somme
- Quand un patient a des difficultés de déglutition, et qu'il n'y a pas d'alternative satisfaisante à écraser le comprimé ou ouvrir la gélule pour assurer les prises d'un médicament, les conséquences pour le patient de cette pratique sont en général mal connues.
- La balance bénéfices-risques du médicament ainsi administré est en général très incertaine.
- Mieux vaut se poser une série de questions avant de décider d'une prise de comprimés écrasés ou de gélules ouvertes, telles que celles listées dans ce texte.
- Quand le choix d'écraser les comprimés ou d'ouvrir les gélules est retenu, les arguments qui ont motivé ce choix souvent délicat sont à mentionner dans le dossier du patient, pour informer les autres soignants.
- Il est prudent de porter une attention particulière aux effets du médicament, en termes d'efficacité et en termes d'effets indésirables, pour éventuellement adapter le traitement.
- Les effets indésirables observés sont à notifier afin de partager les observations avec l'ensemble des soignants.
Retrouvez la première partie du thème "Écraser un comprimé ou ouvrir une gélule" dans le numéro de novembre 2020 (n° 35) >ICI et la deuxième partie "Quels risques ?" dans le numéro de décembre (n° 36) >ICI
©Compétence 4 • Janvier 2021
Le texte complet est réservé aux abonné·e·s.
"Écraser un comprimé ou ouvrir une gélule. Troisième partie : des questions à se poser avant de décider"
Compétence 4 • 2021 ; 4 (37) : 18-19. > Pdf (réservé aux abonnés)
