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ÉPIDÉMIE COVID-19 Un point sur les myocardites liées aux vaccins covid-19 à ARN messager tozinaméran (Comirnaty°) et élasoméran (Spikevax°), début novembre 2021
 COVID-19  Quels sont la fréquence, la gravité et les facteurs de risque de ces myocardites ? Dans quelle mesure le risque est-il différent selon le vaccin ?
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Mi-2021, l’analyse de cas rapportés en Europe et dans le monde a conduit le Comité européen de pharmacovigilance (PRAC) à conclure que les vaccins covid-19 à ARN messager tozinaméran (Comirnaty°) et élasoméran (Spikevax°) exposent très rarement à des myocardites. Le plus souvent, ces myocardites étaient survenues dans les 14 jours après la deuxième injection chez des adolescents ou des hommes âgés de moins de 30 ans, et ont régressé en quelques jours. Des données états-uniennes allaient dans le même sens.

Quelques mois plus tard, quels sont la fréquence, la gravité et les facteurs de risque de ces myocardites ? Dans quelle mesure le risque est-il différent selon le vaccin ? Quelques points de repère extraits de notre veille documentaire.

©Compétence 4 • Décembre 2021

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Compétence 4 • 2021 ; 4 (48) : 362. > Pdf (réservé aux abonnés)

Voir aussi :

 ÉPIDÉMIE COVID-19   Des informations pour y voir clair >ICI

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