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La migraine est une affection fréquente qui touche plus souvent les femmes. Même s'il s'agit d'une affection considérée comme bénigne, l'intensité et la répétition des crises peuvent causer un handicap sévère dans la vie quotidienne. Aussi, la mise en place d'un traitement préventif est-elle parfois envisagée.
Situation pratique
Catherine, 35 ans, est une artiste connue. Passionnée par son art, elle peut passer des heures sur une toile en luttant contre la fatigue à grand renfort de café et de cigarettes. Catherine est née avec une agénésie utérine. Elle n'envisage pas d'avoir d'enfant par adoption ou autre démarche. À son adolescence, des crises migraineuses se sont ajoutées à un asthme chronique persistant depuis son enfance. Vous la connaissez bien car elle vous sollicite régulièrement pour ses problèmes de santé.
Cette fois-ci, elle vient vous demander conseil pour un traitement préventif de ses crises de migraine qui, estime-t-elle, s'aggravent. N'ayant pas toléré les triptans, elle prend des antalgiques non spécifiques pour soulager ses crises migraineuses. Sa mère, migraineuse elle aussi, lui a conseillé de prendre en continu de l'acide valproïque qui marche très bien chez elle. Sa tante maternelle lui a vanté l'efficacité du propranolol.
Question N° 1
Vous cherchez à évaluer la fréquence des crises de migraine
de Catherine. Pourquoi et comment ?
Question N° 2
Quel est l'intérêt d'évaluer sa consommation
médicamenteuse globale ?
Question N° 3
Quelles sont les mesures de prévention
des crises migraineuses ?
Question N° 4
Quelles informations transmettre à Catherine concernant
les traitements médicamenteux préventifs des crises de migraine ?
Pour lire les réponses, télécharger l'exercice complet.
©Compétence 4 • Juillet 2019
Le texte complet est réservé aux abonné·e·s.
"Graines de pratique. Catherine ne veut plus avoir mal à la tête"
Compétence 4 • 2019 ; 2 (19) : 217-219 > Pdf (réservé aux abonnés)